Jijel, anciennement Djidjelli, ville et port du port, nord-est de l'Algérie, sur le littoral méditerranéen et à la limite ouest de la région de Collo Kabylie. La ville de Jijel, à l'origine un comptoir phénicien, a été transmise successivement aux Romains (comme Igilgili), aux Arabes et, au XVIe siècle, au pirate Khayr al-Dīn (Barbarossa). Il resta une forteresse corsaire jusqu'à sa capture par les Français en 1839. Une forte résistance locale, finalement maîtrisée en 1851, régit la construction de trois forêts le long de sa frange sud et sa colonisation minimale. La ville d'origine a été dévastée par un tremblement de terre en 1856. Entourée d'une forêt de chênes-lièges et protégée par une péninsule et une citadelle au nord, Jijel a été reconstruite selon des lignes modernes, avec de larges rues ombragées de platanes. Les industries principales sont la transformation du liège, le tannage du cuir et la fabrication de l'acier. Il existe un commerce d'exportation actif de produits agricoles. Jijel est également une station balnéaire avec des plages de sable fin et un casino.
La région environnante soutient la pêche commerciale et la production d'agrumes et de céréales. Sa population comprend à la fois des Arabes et des Kabylies, un groupe berbère (amazigh).
Le Plan Directeur d’aménagement et d'Urbanisme de la Ville De Jijel disponible pour téléchargement Sous format .dwg
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